Alice Mcdyll est làà :D (FINITO)

>> Carte d'identité

Nom :Mcdyll
Prénom(s) :Alice
Surnom(s) :Ali
Date de naissance :22 Octobre 1959
Lieu de naissance :Londre
Lieu d'habitat : Durant l’année scolaire à Poudlard ou sinon à Londres dans un quartier moldus.
Métier souhaité & passe temps : Alice n’a jamais réellement choisit quel métier qu’elle souhaiterait exercer plus tard simplement car…elle n’en sait rien du tout. Biensur, elle y a déjà réfléchit, il sagit d’une chose importante, mais elle à tendance à être plutôt lunatique et à changer d’idée rapidement. Malgré tout, elle se destine à une profession pleine d’inattendues et de rebondissements, une profession ou si possible elle ne risque pas de s’ennuyer. Reste plus qu’à trouver sa...
Famille & Ascendance :Alice fût élevée dans une famille de sorciers de sang-purs. Ses parents, Linda et Michaël, sont deux éléments haut-placés du ministère de la magie qui ont toujours privilégiés leur travail à leur fille. Aussi, Alice passa très vite la plupart de son temps chez sa grand-mère qui était une cracmol. Sans frère ni sœur, la petite fille fût heureuse de trouver en la vieille dame un peux de compagnie. Alice n’eût jamais de très bons contact avec ses parents qui étaient, selon elle, un peux trop partisans de la magie noir. Toutefois, ils ne l’obligèrent jamais à rien : Etant petite elle pouvait faire ce qu’elle voulait et cultiver ses idées comme elle l’entendait. Alice prit cela pour de la liberté, mais en réalité ses parents n’avaient simplement pas le temps de s’occuper d’elle et de la rallier à leur cause.

>> Lui & son Histoire

>> Ce qu'il possède & ce qu'il est

Baguette : Bois de rose ;24 cm ;Cheveu de Vélane
Animal de compagnie & prénom : Elle n’en possède pas
Forme du Patronus : Un renard
>> Ses qualités & ses défauts

Caractère :

Phobies :Le balais volant, le simple fait de se retrouver en altitude la fait perdre tout ses moyens.

>> Ses relations

*Ariel & Lily : Tout simplement ses meilleurs amies. Toutes les trois elles sont très différentes et ce qui est génial c’est que chacune d’entre elles peut apporter quelque chose de différent. Alice ne s’imagine pas la vie sans Ariel et Lily.

*Sirius Black : Alice à du mal à décrire sa relation avec Sirius. Oui, il l’attire, c’est vrai. Elle ressent ce petit picotement dans le ventre quand elle l’aperçoit, elle ne peut s’empêcher de sourire en penser à lui, dès qu’il lui adresse la parole elle se sent rougir…mais elle ne peut expliquer sa. Sirius à l’air de ne pas s’intéresser à elle de toute façon et Alice refuse de s’avouer la chose la plus flagrante qui soit.

>> Histoire

Durant son enfance...
Le jour ou Alice vît le jour, ses parents organisèrent une grande fête en son honneur. Enfin ! L’héritière des Mcdyll était née ! Toute son enfance fût cultivée de la même façon. Pour les anniversaires, Noël, les récompenses reçues ou je ne sais quoi, on organisait une grande fête. Pour les autres jours, on ne s’occupait pas d’elle. Ses parents étant des hauts-placés au ministère, ils étaient partagés entre leur travail, leur voyages d’affaire, les incessantes réunions et, occasionnellement par leur petite Alice. Toutefois, la principale intéressée n’était pas malheureuse. Dès qu’elle fût née, on la plaça chez sa grand-maman (La mère du père d’Alice) qui s’occupait d’elle quand ses parents ne pouvaient pas, c'est-à-dire tout le temps. Sa grand-mère était une cracmol qui avait épousée un sorcier de sang-pur. Le sorcier en question, le grand-père de Alice, avait été un grand sorcier mort lors d’un combat ce qui avait valût à la vieille femme de ne jamais se faire insulter par rapport à son statut de « sans-pouvoir ». Malgré ce fait, la femme se comporta magnifiquement bien avec Alice quand ses pouvoirs commencèrent à se développer et elle l’aida à les contrôler. Venant d’une haute famille de sang-pur, la jeune fille était couverte de cadeau et de privilèges, mais cela ne suffit pas à l’empêcher de pleurer en silence, le soir, le manque de ses parents. Ces derniers étaient gentils avec elle, ce n’est pas la question. Ils étaient juste un peux…disons qu’ils avaient un penchant pour la magie noir. Alice les entendaient parler de sa mais jamais elle ne dit quelque chose : en secret elle pensait tout le contraire. Elle pensait comme sa grand-mère. Très tôt la vieille femme lui apprit le respect des moldus, Alice comprit ainsi que ce n’était pas parce qu’ils n’avaient pas de pouvoirs qu’ils étaient des moins que rien.

A Poudlard...
Ce fût sans surprise qu’elle reçut un jour sa lettre de Poudlard. Ses parents lui en avaient beaucoup parlé pendant le peux de temps qu’ils passaient ensemble. En réalité, ils lui avaient surtout parlé de Serpentard. Ha, Serpentard. Il vouait un véritable culte à la maison du serpent. Sa grand-mère évoqua toutefois les autres maisons et Alice fût immédiatement attirée par la rouge et or : Gryffondor. De nouveau, elle n’en parla pas à ses parents qui semblaient n’apprécier que modérément la maison de Godric Gryffondor. Le jour de la rentrée, ce fût presque en le sachant déjà qu’elle entendit sa mère lui annoncer qu’elle ne pouvait pas venir et que ce serait donc sa grand-mère qui s’en chargerait. Après qu’elle eut préparé sa valise, toutes deux partirent en direction de King Cross, plus précisément en direction de la voie 9 ¾. Au moment de traverser la paroi, Alice eût une petite hésitation mais tout finit par bien se passer. En pleur, elle embrassa sa grand-mère des centaines de fois puis daigna enfin entrer dans le train. Il lui fallut longtemps avant de trouver enfin un compartiment libre. Alice aurait voulut se retrouver seul et pleurer un grand coup : jamais elle ne s’était retrouvée seule. En général il y avait sa grand-mère ou alors, plus rarement, ses parents. Mais jamais seule. Seulement le destin en décida autrement. Elle finit par entrer dans un compartiment déjà occupée par deux filles et un garçon. Ce qu’elle ne savait pas à ce moment là, c’est que toutes trois allaient être envoyées à Gryffondor et qu’elles allaient devenir meilleures amies.
Les années à Poudlard se passèrent bien pour Alice et ses amies. Quand elle rentrait chez elle, ses parents semblaient toutefois encore plus absents qu’avant. La vérité, Alice la savait : Jamais ils ne l’avait dit, mais la jeune fille n’était pas dupe et se doutait bien que secrètement ses parents avaient toujours espérés qu’elle soit envoyées à Serpentard. Sauf que désormais, Alice s’en fichait. Ses parents avaient choisis leur voie et elle la sienne. Certes, sa grand-mère lui manquait beaucoup mais à Poudlard elle avait ce qu’elle n’avait jamais connu avant : Des amis.

>> Test RP

Alice ferma les yeux un instant. Une vieille femme leur avait demandé de rester devant cette énorme porte et d’attendre sagement qu’elle revienne, sans aucune autre explication. Sauf qu’Alice savait ce qui allait se passer, sa grand-mère lui avait raconté ce moment des centaines de millions de fois mais jamais elle n’avait imaginé une chose pareille. Une septantaine de jeunes se trouvaient autour d’elle à crier, parler avec entrain de la manière dont ils avaient reçut leur lettre, des maisons dans lesquelles ils espéraient être envoyés ou encore du dernier balais volant qui venait d’être mit en vente. Quant à elle, Alice Mcdyll, elle était là, totalement pommée, à fermer les yeux et à réfléchir. Derrière ces portes devaient se trouver les quatre tables des différentes maisons : Serpentard, Pouffssoufle, Serdaigle et Gryffondor. A ces mots elle frémit, espérant secrètement être envoyée dans la dernière. Oui, ses parents n’apprécieraient pas, mais c’est ce qu’elle voulait. Et puis grand-mère serait fière d’elle, d’ailleurs, quoiqu’elle fasse elle serait fière d’elle, c’était le plus important. Quand elle ouvrit à nouveau les yeux, elle aperçut à sa gauche la fille du train et son ami qui discutaient calmement. La jeune fille rousse semblait posée et le fait de savoir si oui ou non elle allait se trouver à Serpentard d’ici quelques minutes ne semblait pas vraiment l’intéresser. Normal, pensa Alice, il n’y a que mes parents qui me renieraient si je n’y étais pas. Pendant un instant elle se dit qu’elle se mentait : Ses parents ne lui avait jamais dit qu’elle devait aller à Serpentard et non ailleurs. Le problème, c’est que la vie d’Alice avait toujours été faite de non-dits. Chez elle on ne parlait pas, il fallait comprendre c’est tout. Enfin, la vieille femme revint et la jeune fille soupira presque de plaisir, l’attente était bientôt terminée, bientôt elle allait savoir…Oui mais voilà. Avant elle devait attendre de traverser la longue distance qui séparait les futurs élèves du tabouret et du « choixpeau » dont lui avait tant parler sa grand-mère. Elle ne prit même pas la peine de regarder le faux ciel, Alice se dit qu’elle avait 7 ans devant elle pour découvrir les mille et une merveilles de Poudlard. Ou alors c’était juste qu’elle était trop stressée et qu’elle n’osait pas lever les yeux de ses pieds de peur de s’étaler devant tout le monde. « Les milles bonheur de la maladresse », voilà le futur bouquin qu’allait écrire Alice. Le directeur fît un discourt que la jeune fille, au bord de la nausée, ne réussit pas à entendre. Puis la cérémonie de la répartition commença. Alice se dandinait dans son coin et, à chaque fois que la vieille dame prononçait un nouveau nom (un nom qui signifiait que son tour approchait) les palpitations du cœur de la jeune fille s’affolaient. Toutefois, elle réussit à entendre quelques noms : Avery, Black et Carrow lui arrivèrent aux oreilles. Oui, tous ces noms étaient aussi les noms de certains amis de ses parents. Elle serra les dents à leur souvenirs et sentit son déjeuner remonter lorsque la femme prononça d'une voix dinstinct : Alice Mcdyll. Juste avant de s'avancer elle lança un petit coup d'oueil en direction de la porte "Quoique je fasse, elle est trop loin. Je suis obligée d'y aller."
Lentement, Alice s’avança vers le tabouret et s’y assis sans tarder. Lorsque le « choixpeau » se posa sur sa tête, Alice ferma les yeux et pensa très fort à la maison de Gryffondor ainsi qu’à sa grand-mère. « Oh… » Susurra le choixpeau à son oreille, « Je me souviens très bien d’où j’avais placé tes deux parents…de très bons sorciers ma foie ». Comprenant très bien où il voulait en venir, Alice se mit en colère et murmura pour elle seule « Je ne suis pas comme mes parents ». Le choixpeau sembla bouger sur sa tête puis il reprit : « En effet, aussi, je ne peut te placer à Serpentard. ». Pendant une seconde il sembla méditer. Une seconde durant laquelle Alice jubila : elle n'allait pas aller à Serpentard, c'était vrai ! « Que dirais-tu de…GRYFFONDOR ! ».
Retenant un cri de joie, Alice courut en direction de Gryffondor, bien loin de la table des Serpentard qui avait été, jusqu’au dernier moment, la fatalité qui l’attendait. Une jeune fille rousse, celle du train, se poussa pour lui faire de la place et lui sourit grandement quand elle s’installa. La première nuit fut sans doute la meilleure car, pour la première fois, Alice se sentait à sa place.

>> Et plus loin

Prénom :Anny
Age :16 ans
Loisir & Passion :Le cinéma, la lecture, le RPG
Où as-tu connu le forum ?Sur Google
Un commentaire dessus ?Je le trouve très bien ^^
Code :Just ok

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